Travail (et ouais)

Discussion générale entre passionnés et amateurs de mathématiques sur des sujets mathématiques variés
Anonyme

travail (et ouais)

par Anonyme » 20 Jan 2006, 19:50

que pensez-vous du travail ? est-ce une bonne chose pour l'homme ? lui est-elle naturelle ?

même si, pour nous, pauvres êtres égarés dans la société, il est très difficile de répondre, brisons les chaînes de Platon, évadons-nous de cette caverne sans vraie lumière. cherchons en nous les réponses les plus naturelles et les plus pures.



satorie
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par satorie » 01 Fév 2006, 19:39

salut..............
quelqu'un a dit:"le travaille est la mort de la libérté" qu'en dite vous????? :ptdr:

Anonyme

par Anonyme » 01 Fév 2006, 20:15

Pour moi, le travail c'est le début de la liberté et le travaille la fin de l'orthographe

satorie
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par satorie » 01 Fév 2006, 20:28

:hum: pour quoi la fin de l'orthographe????????????? :hum:

Bloud
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par Bloud » 01 Fév 2006, 23:38

satorie a écrit::hum: pour quoi la fin de l'orthographe????????????? :hum:



Il a écrit "le travaille", or c'est "le travail".

Anonyme

par Anonyme » 02 Fév 2006, 15:00

satorie a écrit:salut..............
quelqu'un a dit:"le travaille est la mort de la libérté" qu'en dite vous????? :ptdr:

mais quand il s'agit de l'écrire ....

yos
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par yos » 02 Fév 2006, 15:26

Noninscrit a écrit:Pour moi, le travail c'est le début de la liberté et le travaille la fin de l'orthographe


arbeit macht frei?

satorie
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par satorie » 02 Fév 2006, 20:47

je suis nule dans les langues elle veut dire quoi cette phrase??????????

yos
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par yos » 02 Fév 2006, 20:56

Elle signifie "le travail rend libre".
Quant au point d'interrogation, c'est par rapport à la présence de cette maxime au dessus de la porte d'entrée du camp d'Auschwitz.

Anonyme

par Anonyme » 03 Fév 2006, 21:43

le travail peut être une porte d'accès à la liberté
mais le genre de travail que proposait, que dis-je, qu'imposaient les allemands aux déportés ne rendait bien sûr pas libre.

"arbeit macht frei" c'est une de ces phrases ciniques de propagande sous le régime d'hitler

malgré l'Histoire qui nous rappelle sans cesse, ne pouvons-nous pas fonder une réflexion nouvelle, et penser qu'en une certaine manière, le travail rend libre ?

pour ma part, je dirai que le travail dompte l'homme pour le rendre obéissant dès le plus jeune àge, pour qu'il puisse servir comme il faut la société. mais au final, qui sert-il ? n'est-ce pas, au fil du temps, la survie de l'humanité ?
parce que toute vie d'homme est éphémère. on ne peut pas dire que l'on est soumis et que l'on travaille au profit de l'Etat et des hommes qui sont à sa tête, puisque ces hommes aussi se sentent obligés de tout mettre au service de la SOCIETE.
quel est ce dieu pour qui les hommes travaillent avec tant d'acharnement ?

si l'homme travaille pour la survie de son espèce, c'est pour maintenir sa crétion en vie, donc la mémoire de son créateur, donc DIEU. (dieu est l'origine, je ne parle pas forcément d'un dieu particulier, dieu c'est l'absolu)

vivent les neurones

Wutang
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par Wutang » 04 Fév 2006, 00:40

mon nom est personne a écrit:que pensez-vous du travail ?

Connaissez-vous seulement l'etymologie de ce mot latin compose ? D'ou vient en francais le mot travail ?
De Tri-Palium, trois pieux, instrument de torture.
Vous aurez beaux faire, vous ne pouvez en quelques generations, rayer plus de 2000 ans d'une civilisation qui est la votre.
Nous ne luttons pas a armes egales avec les autres civilisations qui ont un autre sens de la vie, du travail, de la piete filiale, bref rien a voir.
Or l'injure faite a la Republique, est que le chomage denature la force de liberte de travailler dignement, et une autre est encore de bassement culpabiliser le chomeur quand les entreprises accumulent des benefices jamais encore imagine dans le monde.
Vous n'etes pas pauvre, meme avec du travail. Simplement, on vous appauvri, nuance.
Et le role du travail est au verbe etre, etre du metier, et non a la forme moderne de l'esclavage, se faire avoir, avoir du travail. Car si vous conjuguez le verbe avoir, vous vous ferez avoir. Mais si vous conjuguez le verbe etre, vous deviendrez ce que vous etes (Pindare, premiere pythique).
:jap:

yos
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par yos » 04 Fév 2006, 01:25

mon nom est personne a écrit:le travail peut être une porte d'accès à la liberté
mais le genre de travail que proposait, que dis-je, qu'imposaient les allemands aux déportés ne rendait bien sûr pas libre.

"arbeit macht frei" c'est une de ces phrases ciniques de propagande sous le régime d'hitler

malgré l'Histoire qui nous rappelle sans cesse, ne pouvons-nous pas fonder une réflexion nouvelle, et penser qu'en une certaine manière, le travail rend libre ?

pour ma part, je dirai que le travail dompte l'homme pour le rendre obéissant dès le plus jeune àge, pour qu'il puisse servir comme il faut la société. mais au final, qui sert-il ? n'est-ce pas, au fil du temps, la survie de l'humanité ?
parce que toute vie d'homme est éphémère. on ne peut pas dire que l'on est soumis et que l'on travaille au profit de l'Etat et des hommes qui sont à sa tête, puisque ces hommes aussi se sentent obligés de tout mettre au service de la SOCIETE.



Bien que la maxime "arbeit macht frei" soit sérieusement galvaudée par son emploi détourné sous Hitler, elle reste récupérable en partie. Pour s'affranchir de ce passé et de l'aspect esclavage du travail que tu évoques, on pourrait la modifier en "la liberté est dans l'action".
Action politique, citoyenne, action pour se cultiver, pour progresser, avancer.
A l'opposé, toute passivité asservit. Sédentarité, suivisme, mode, télévision, journaux gratuits, ...perte de temps sur internet. Bon je vais me coucher.

Anonyme

par Anonyme » 04 Mar 2006, 21:54

se cultiver et apprendre amène-t-il vraiment à la liberté ? Mon chien n'est-il pas plus libre que moi ?

tout ce que je constate, c'est que j'ai conscience de ne pas être libre et de vouloir l'être ; ou bien d'être libre

mais cette conscience ne nous enlève-t-elle pas notre liberté véritable et pure ?

j'ai l'impression qu'à partir du moment où je suis libre, j'en prends conscience, et de ce fait, ma conscience m'enlève cette liberté

parce que je ne suis pas libre d'avoir cette conscience

Silvercard
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par Silvercard » 07 Mar 2006, 13:24

euh je ne te comprend pas vraiment mais si tu est libre t'a conscience doit l'être sauf si t'as fait quelque chose de mal (un meurtre? :eek: aaahhhh) pendant que t'étais libre dans le passé et qui a eu des répércutions psychologique sur ton moi intérieur. (je sais je suis Sigmund Freund en plus classe et la barbe en moins :zen: )

Anonyme

par Anonyme » 07 Mar 2006, 21:21

du fait que je ne suis pas libre de prendre conscience, j'ai cette impression d'être prisonnière d'elle, et donc, même si je prends conscience d'être libre, de ne pas l'être tout à fait

suis-je tout à fait claire ?

j'en doute

Anonyme

par Anonyme » 07 Mar 2006, 21:46

allez faire un tour aux "énigmes".

Anonyme

par Anonyme » 09 Mar 2006, 16:21

travail ou paresse ?
disons que la paresse est la mère de tous Les vices ...
mais ..c'est une mère et ça se respecte bordel! :))

Bloud
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par Bloud » 10 Mar 2006, 11:39

mystere a écrit:travail ou paresse ?
disons que la paresse est la mère de tous Les vices ...
mais ..c'est une mère et ça se respecte bordel! :))


Lol!!! E X C E L L E N T :ptdr:

curieux
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par curieux » 11 Mar 2006, 21:11

Le travail pour moi représente une lucidité qu'acquièrent les hommes dans la vie.
Ce que l'on appels exclavage et qui ne peut être fuit, annulé, inexistant devient avec le temps et grace au travail une forme de lucidité une forme de liberté. Le travail met en lumière notre état d'esclave et avec le temps nous montre que la liberté est d'accepter, la liberté est en fait de pouvoir voir le reste du fait d'accepter notre réalité. Le travail est une condition que l'on peut associer à une forme d'esclavage avec la différence que cette forme est la plus juste à accepter à vivre.

Ps: Les convictions sont le luxe des observateurs qui n'agissent pas! De quel écrivain est cette citation? merci.

Anonyme

par Anonyme » 11 Mar 2006, 21:54

curieux a écrit: la liberté est d'accepter

la liberté est aussi de refuser

 

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