Alasdair a écrit:Il suffit de prendre une arbitrairement une machine qui n'a pas les paradoxes sus-mentionnés et de l'inclure dans la définition de la suite logique, non ? On aurait donc un sens (parfaitement arbitraire, mais bien défini) à "tel nombre continue mieux la suite que tel autre". Et cette belle construction reste bien sur complètement inutile.
Oui, c'est effectivement parfaitement possible, mais dans ce cas, il faudrit bien préciser la suite "blablabla" est plus logique que la suite "tructructruc" pour la machine M (et faire remarquer que c'est le contraire pour la machine M').
En disant ça, on s'approche à mon avis de plus en plus de la "réalité" de ces tests : si deux personnes différentes donnent deux réponse différentes à la question "compléter logiquement la suite...", tout ce que l'on peut en déduire, c'est que leurs "machine à calculer la complexité" n'est pas la même (ce qui, à mon sens, signifie principalement qu'ils n'ont pas le même bagage culturel).