La question de savoir pourquoi une suite de Collatz se termine toujours par 1 vient de trouver sa réponse dans ce document. Je ne dis pas ça à la légère et je ne me fais pas des idées. Ça fait environ deux ans que l'idée d'une suite impaire symbolique m'est venue, mais c'est il y a quelques jours seulement que j'ai pris conscience de son potentiel.
aviateur a écrit:Maintenant il se peut que j'ai mal compris dans ce cas tu peux faire un peu preuve de pédagogie en méttant en évidence ce qu'il y a de vraiment important dans les remarques de ton document.
aviateur a écrit:Ensuite, ne fait pas dire à Einstein ce qu'il n'a jamais dit.
aviateur a écrit:@ arbre Est-ce que tu veux que je mette à la communauté ton message privé? Où soit disant tu me donnes une réponse à un problème (pas facile au demeurant) et qui me dirige vers un site où les réponses sont faites par les adeptes des pseudo-mathématiques.
Il s’ensuit que si une seule des autres fractions était supérieure à 1, ne serait pas entier.
La seule possibilité d’obtenir une valeur entière est que ces fractions soient toutes inférieures à 1 et
que leur somme soit 1.
Lorsque n’est pas une puissance de 2, la somme au numérateur évolue au fil des
itérations de l’algorithme jusqu’à s’égaliser avec le produit des diviseurs.
samoufar a écrit:Déjà, pour n0=9, ça ne marche pas (tu trouves n5=5).
Avec un petit programme informatique, on voit que le nombre de n0 impairs vérifiant n5=1 est très faible.
Ensuite, ta preuve consiste grosso modo à admettre la conjecture de Collatz pour la démontrer.
On peut alors faire exactement le même raisonnement sur une suite à un seul terme, au lieu de six, ce qui, bien entendu, est complètement faux...
syrac a écrit:Il s’ensuit que si une seule des autres fractions était supérieure à 1, n5 ne serait pas entier.
Pourquoi ? (NB: c'est certainement faux)
syrac a écrit:Lorsque 3n0 + 1 n’est pas une puissance de 2, la somme au numérateur évolue au fil des itérations de l’algorithme jusqu’à s’égaliser avec le produit des diviseurs.
Encore une fois, pourquoi ?
Puis, ton exemple de "suite compressée" me fait curieusement penser à la définition d'une suite impaire...
Je cite la seconde phrase de ce document : "On s’intéressera ici à des suites impaires de 6 termes ...". La suite impaire de 9 compte 7 termes : 9, 7, 11, 17, 13, 5, 1. De ce fait, son dernier terme symbolique est n6, et non pas le n5 dont il est question jusqu'à la fin du document.
Je cite une phrase de la fin de la page 1 : "Si la conjecture de Collatz est vraie, alors n5=1, ...". Il est nécessaire de partir du principe que la conjecture peut être vraie, sinon on n'avance pas. D'autre part, je ne cherche pas à démontrer la conjecture, j'explique pourquoi le terme final d'une suite est 1. Ce qu'il faut démontrer, c'est le fait que dans l'expression du dernier terme d'une suite impaire la somme au numérateur s'égalise avec le produit des diviseurs.
La question de savoir pourquoi une suite de Collatz se termine toujours par 1 vient de trouver sa réponse dans ce document.
j'explique pourquoi le terme final d'une suite est 1
Ce qu'il faut démontrer, c'est le fait que dans l'expression du dernier terme d'une suite impaire la somme au numérateur s'égalise avec le produit des diviseurs.
Non. Il n'existe aucune suite, impaire ou traditionnelle, à 1 seul terme. Si j'ai choisi 6 termes c'est uniquement parce que c'est un chiffre suffisant pour montrer le développement symbolique d'une suite impaire.
Tu as une somme de fractions dont tu sais qu'elle doit être entière. Mais voilà que soudain tu t'aperçois que la première fraction est toujours inférieure à 1 ! Comment leur somme pourrait-elle être entière dans ces conditions ? Quelle que soit la valeur des autres fractions, leur somme ne sera jamais entière ... sauf si toutes les fractions sont inférieures à 1 et que leur somme soit 1.
Puis, ton exemple de "suite compressée" me fait curieusement penser à la définition d'une suite impaire...
Confirmation : tu as bien lu en diagonale. C'est symptomatique de quelqu'un qui débute sa lecture avec à l'esprit la certitude que tout ça est bidon et que chercher à comprendre sera donc une perte de temps.
Suite impaire de 29 = 29, 11, 17, 13, 5, 1. (haut de la page 2)
La suite compressée de 29 est 29, 44, 22, 11, 17, 26, 13, 20, 10, 5, 8, 4, 2, 1. (bas de la page 2)
Je n'ai rien contre les certitudes, mais dans certains cas il faut savoir les mettre de côté.
dernierTerme[n_]:=Block[{divs,stimp,nk,N},
(* Fonctions pour le calcul de la suite compressée de n *)
collatz[a_]:=NestWhileList[cltz,a,#!=1&];
cltz[b_]:=If[OddQ[b],(3b+1)/2,b/2];
(* Calcul de la suite impaire de n.
On sélectionne les termes impairs de la suite compressée *)
stimp=Select[collatz[n],OddQ];
(* Nbr de termes de la suite impaire *)
N=Length[stimp];
(* Calcul des exposants de 2 des diviseurs de la suite impaire.
Most[stimp] supprime son 1 final (il n'a pas de diviseur) *)
divs=IntegerExponent[3*Most[stimp]+1,2];
(* Calcul de la valeur du dernier terme de la suite impaire *)
nk=(\!\(
\*UnderoverscriptBox[\(\[Sum]\), \(x = 1\), \(N - 2\)]\((
\*SuperscriptBox[\(3\), \(x - 1\)] \(
\*UnderoverscriptBox[\(\[Product]\), \(y = 1\), \(N - x - 1\)]
\*SuperscriptBox[\(2\), \(divs[[y]]\)]\))\)\)+3^(N-2) (3n+1))/\!\(
\*UnderoverscriptBox[\(\[Product]\), \(z = 1\), \(N - 1\)]
\*SuperscriptBox[\(2\), \(divs[[z]]\)]\);
(* Renvoyer {suite impaire, diviseurs, valeur du dernier terme}
sous forme d'un tableau *)
TableForm[{stimp,divs,nk}]
];
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