Le problème n'est pas de remotiver le corps enseignant mais plutôt d'éviter de tomber dans la facilité
en classant les élèves de façon grotesque.
Je trouve pas spécialement grotesque de noter les élèves avec un barême personnellement. A partir du moment ou le classement est représentatif du niveau des élèves...
Après si tu entends grotesque par qui brise l'élève, ok.
Je ne pense pas qu'on puisse savoir ce que ressent un élève mis en échec par le système de notation.
On peut déjà demander aux anciens. Ou même à ceux qui ne sont pas mauvais partout et qui seront à même de parler pour la matière qu'ils minorent.
Le problème n'est pas de déplacer les notes vers la droite, loin de là, mais de cibler davantage
permettant ainsi aux élèves en difficultés, d'avoir une chance de s'en sortir.
D'accord, pourquoi donc vouloir mettre une moyenne à 17.
Si la moyenne est à 15, quelle différence? Et si elle est à 9, mais qu'on valide à 7?
Le véritable problème selon moi, c'est que la note seuil qui valide met la moitié de la classe dans l'échec. Le but c'est de déplacer la majorité au dessus de ce seuil, mais pourquoi donc changer la "distribution"?
Alors qu'admettre finalement que le but du corps enseignant n'est pas de classer mais d'aider à comprendre, ce qui ne se fait pas selon moi, en enfonçant les élèves ayant beaucoup plus de difficultés.
Cette phrase répond à ma question bete : donc on ne se préoccupe pas du classement. Dans ce cas là, pourquoi ne tout simplement pas mettre Validé, Non validé. L'élève sait simplement les points sur lesquels il a merdé ou pas. Pas besoin de note publique...