le processus est continu, il ne fonctionne pas par essais successifs.
Justement c'est là-dessus que je mets un petit bémol. C'est pour ça que j'ai écrit le mot TEST en gros plusieurs fois car les essais successifs, ce sont justement des tests de divisibilité par 3 (ou qui s'en rapprochent). Or, ces tests, tu les fais aussi, de manière un peu cachée dans ton programme, lorsque tu testes si l'expression n0 est un entier pour tes 24 valeurs de x.
Alors je suis d'accord que ton expression est carrément plus simple à implémenter dans un programme qu'un algo de Collatz à l'envers mais je ne crois pas que tu t'affranchisses réellement de ces fameux essais successifs.
Pour ton programme, je ne vois pas pourquoi tu veux à tout prix calculer t1+t2. Tu as fait un choix arbitraire en décidant de fixer le p au départ et de faire varier la puissance dans le t1 pour obtenir tes candidats n0.
Pourquoi ne testes-tu pas, dans tes t1,t2,...,tk tous les exposants inférieurs à un nombre que tu fixes (arbitrairement lui aussi) ?
Car tu as simplifié n0 mais l'expression ressemble à ça à la base :
Du coup pourquoi ne pas écrire un truc du genre :
* Demander N et un entier de "contrôle" e pas trop grand (on prend 4 par exemple)...
* Créer un N-1 uplet nommé K (contenant les exposants pi)
* Pour chaque i dans {1,...,N-1}, K[p]=1 (le i-ème élément du N-1 uplet)
Bon et là j'ai cherché un peu mais je bloque sur une implémentation dans un programme et je n'ai plus trop les idées claires...
Mais bon le principe, c'est simplement de tester si la valeur illisible plus haut est un entier (donc un n0) pour les N-1 uplets
(1,1,...,1,1)
(1,1,...,1,2)
(1,1,...,1,3)
(1,1,...,1,4) (4 est la valeur de contrôle dans l'exemple...)
(1,1,...,2,1)
(1,1,...,2,2)
(1,1,...,2,3)
(1,1,...,2,4)
(1,1,...,3,1)
et ainsi de suite jusqu'à (4,4,...,4,4).
Cette progression des N-1 uplets doit bien s'implémenter d'une manière ou d'une autre...


