L'article est amusant à lire mais certaines définitions sont un peu obscures je trouve (notamment p, ce qui rend la compréhension globale difficile).
Une petite remarque sur le titre : le mot éponyme n'est pas adapté car ce n'est pas l'algorithme qui a donné son nom à Collatz mais bien le contraire.
Cette expression étant ingérable je lai convertie en une forme équivalente mais beaucoup plus simple. Et après avoir laborieusement remplacé les divers symboles par des valeurs numériques, en partant de plusieurs valeurs de n0 dont la suite impaire comptait 6 termes, je me suis aperçu quelle était toujours égale à 1
[...]
Ça ne pouvait décidément pas être le fruit du hasard. Avec n0=29, par exemple, jobtenais ceci :
[...]
Je pense que le souci réel posé par ce problème se situe justement dans ce paragraphe.
Tu ne peux pas prendre le problème à l'envers en disant :
- je prends des suites de Collatz dont la suite impaire compte 6 termes ;
- incroyable, dans ce cas là, le 5ème 3nk+1 de la suite est divisible par une puissance de 2 qui aboutit à 1.
Il est évident dans ce cas que ton algo des impairs aboutira à 1 puisque c'est ce que t'a dit la suite de Collatz a priori.
Je crois que la question : "est-ce le fruit du hasard ?" revient à savoir si le fait que la suite de Collatz aboutisse à une puissance de 2 est un hasard ou non. C'est le coeur du problème, ce qui rend fou plein de personnes devant leur petit bout de papier...
En tout cas, courage dans tes recherches.

