Ben314 a écrit:Perso, ce que je comprend pas, c'est la même chose que Doraki : Quel peut bien être l'intérêt de ton algorithme qui est bien plus compliqué et bien plus long à exécuter que l'algorithme découlant immédiatement de la définition des suites de Collatz ?



nodjim a écrit:Certes, mais les maths, c'est fait justement pour mettre tout le monde d'accord à partir de la seule raison.
syrac a écrit:Les choses se compliquent sérieusement dès qu'on essaie de produire des suites de 4 termes.
J'ai tout lu, parfaitement compris de quoi il en retourne et comment fonctionne l'algorithme et je maintient : c'est sans aucun intérêt vu que ça ne permet de montrer strictement rien de plus que le bête algorithme de la définition des suites en question (sauf que c'est nettement plus long a exécuter.... :hum:)syrac a écrit:...ça veut dire qu'on a lu les explications qui précédaient en diagonale, voire pas du tout, et donc qu'on n'a même pas envie de comprendre. Dans ces conditions il est inutile de s'évertuer à convaincre.
G.Renault a écrit:Si j'étais plus taquin, je te dirais qu'il suffit de faire le programme de Collatz pour tous les nombres, de faire un programme qui compte les impairs et qui renvoie les suites impaires de 4 termes :we:
G.Renault a écrit:Je ne vois pas en quoi c'est difficile. Il suffit de raisonner sur la suite de Collatz en partant de la fin, c'est-à-dire de 1 et de faire quelques tests bien pensés...

syrac a écrit:Je ne sais pas, j'ai pourtant l'impression de parler français...
Il ne s'agit pas de produire des suites de N termes, ce qui est effectivement à la portée de n'importe quel demeuré, mais de choisir une valeur de N puis de calculer une valeur de n0 telle que sa suite aura exactement N termes. La nuance est d'importance.
syrac a écrit:De toute évidence tu ne t'es jamais penché sur la question, parce que "raisonner en partant de la fin" n'est pas aussi simple que tu crois, à moins qu'on soit un calculateur de génie. Voici pour preuve la manière de construire une suite impaire à partir de la fin, laquelle ne peut d'ailleurs pas être 1 mais le terme (impair) qui le précède.
[...]
La prochaine fois, avant de prétendre qu' "il suffit de", commences donc par te demander si tu sais de quoi tu parles !
G.Renault a écrit:Est-ce que tu cherches une fonction qui prend en argument N et qui renvoie SANS AUCUN TEST et par une formule explicite le nombre n0 ? Si c'est le cas tu es d'autant plus malhonnête que ce n'est pas du tout ce que fait ton programme te permettant de créer des suites de 3 termes...
G.Renault a écrit:Pas de bol, je me suis penché sur la question et j'ai construit, à la main et sans calculatrice en un peu plus d'une heure sans trop me presser (conseil de classe oblige) :
1 suite de Collatz de 1 terme impair
1 suite de Collatz de 2 termes impairs
1 suite de Collatz de 3 termes impairs
etc.
G.Renault a écrit:"Il existe un entier impair n non divisible par 3 (il n'en existe aucun dans une suite de Collatz) tel que 3n+1=d5 ==> n=(d5-1)/3" est ambigüe.
G.Renault a écrit:"Il est évident qu'on peut calculer autant de termes supplémentaires qu'on veut sur la gauche, c'est-à-dire rendre la suite aussi longue qu'on veut."
G.Renault a écrit:C'est peut-être vrai, mais peut-être pas et une chose est sûre : tu ne sais pas le montrer... Car cet énoncé impliquerait qu'il existe une infinité de suites de Collatz avec n0 impair qui aboutissent à 1, ce qui est déjà un résultat en soi (maigre mais mieux que rien). Mais sans doute n'y avais-tu pas réfléchi...
syrac a écrit:Je cherche une fonction qui prend pour arguments une puissance de 2 ainsi que N, et qui renvoie une ou plusieurs valeurs de n0 telles que leur suite impaire comptera exactement N termes. C'est exactement ce que fait la fonction suite3termes(p), sauf qu'on ne spécifie pas N puisqu'elle est conçue pour calculer des valeurs de n0 dont la suite impaire compte 3 termes.
Serais-tu en train de comprendre le sens de la phrase : "Les choses deviennent beaucoup plus compliquées lorsqu'on cherche à produire des suites de 4 termes" ?
Fabuleux !
Serais-tu en train de comprendre le sens de la phrase : "Les choses deviennent beaucoup plus compliquées lorsqu'on cherche à produire des suites de 4 termes" ?
Il y a déjà un bon moment je me suis amusé à écrire une fonction Mathematica qui automatise cet algorithme. Il suffit de lui passer le nombre de termes désiré pour qu'elle renvoie une suite impaire comptant très précisément ce nombre de termes, quel qu'il soit.
Il ne s'agit pas de produire des suites de N termes, ce qui est effectivement à la portée de n'importe quel demeuré, mais de choisir une valeur de N puis de calculer une valeur de n0 telle que sa suite aura exactement N termes.
Je laisse cette démonstration à qui s'intéresserait à la question, car ça n'aurait aucune espèce d'utilité. Une pure perte de temps. On ne peut pas démontrer que toutes les suites se terminent par 1 si on les construit à partir de 1. L'ai-je suffisamment répété ?
G.Renault a écrit:Ok, donc c'est bien ce que je te dis, ton programme "renvoie" une ou plusieurs valeurs de n0 telles que la suite impaire contienne N termes.
G.Renault a écrit:Donc un algorithme qui prend N en argument et qui calcule les suites de Collatz jusqu'à en trouver une avec N termes impaires et qui enfin te balance n0 en retour répond à tes attentes.

G.Renault a écrit:Je répète encore : d'après ce que tu dis, un algo qui part de 1, s'arrête après avoir trouvé 4 termes impairs et te renvoie le n0 répond aussi à tes attentes.
G.Renault a écrit:Il ne s'agit pas de produire des suites de N termes, ce qui est effectivement à la portée de n'importe quel demeuré, mais de choisir une valeur de N puis de calculer une valeur de n0 telle que sa suite aura exactement N termes.

G.Renault a écrit:Donc un algorithme qui prend N en argument et qui calcule les suites de Collatz jusqu'à en trouver une avec N termes impaires et qui enfin te balance n0 en retour répond à tes attentes.
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