Et je rajouterais que, le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est pas uniquement en ce qui concerne les calculatrices scolaire que ce sont les lobby qui prennent les décision : pour "rappel", à Bruxelles, on estime qu'il y a environ 30 000 Lobbyistes (environ autant que d'employés à la commission) dont le coût se compte en milliards d'euros (1) et il faudrait être un peu simple d'esprit pour penser qu'on paye ces types là à ne rien foutre (i.e. qu'ils n'ont pas au minimum une influence permettant de rendre le schmilblick rentable). Et l'augmentation absolument partout du fric investit par les grandes entreprises dans le lobbying ces 50 dernières années me semble constituer une preuve de la rentabilité du bidule.pascal16 a écrit:Et ça fait des années que ça dure !
C'est vrai que "faire des calculs fastidieux" c'est proprement inutile.
beagle a écrit:C'est curieux parce que perso je suis un inverseur né, donc dès qu'il ya des calculs c'est sur faut que je les fasse un nombre impair de fois.
Et autant je me suis gourré en physique à cause des calculs, autant en maths je n'ai aucun souvenir de copies gachées par des erreurs de calcul.
Mon sentiment c'est qu'à l'époque on ne faisait aucun calcul en maths.
Enfin vérifiez quand même je ne suis pas trop fiable...
aviateur a écrit:Pourtant utilisateur des logiciels de calculs numériques et de calculs formels, et bien si j'étais prof en collège ou lycée, mes élèves n'utiliseraient pas de calculatrices et de logiciel du tout.
La calculatrice ne sert à rien si on ne comprend rien aux maths.
aviateur a écrit:Alors disserter sur le prix cher d'une calculatrice comme élément d'inégalité sociale ça me laisse perplexe. Car le problème est ailleurs.
Même si je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il reste des problèmes plus graves dans l'enseignement 

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