En résumé, je trouve que... c'est un sacré charabia pour parler de truc "concon" (l'archétype de ce que j'aime pas quoi...)
1) Si ton ensemble de formule

(met toi au
MimeTeX...) est "satisfaisable", sauf erreur, ça veut dire qu'il existe des valeurs sur les variables "libres" (i.e. sans quantificateurs) de tes formules telles que toutes les formules prises en ces valeurs là soient vérifiées.
Sauf que,
pour ces valeurs là, la proposition A est soit vraie, soit fausse.
Si elle est vrai, quand on la rajoute à

, le tout reste "satisfaisable" avec les même valeurs sur les variables libres.
Si elle est fausse, on rajoute la négation de A et c'est pareil...
(c'est curieux cette impression de... parler pour ne rien dire... que j'ai après des raisonnement pareil...)
Pour le 2), ça me semble tout aussi "tarte" : Si je comprend bien, on se donne des valeurs pour les variables libres et on considère toutes les formules qui sont vraies lorsqu'on les prend en ces valeurs là.
Cet ensemble est-il "satisfaisable" : ben oui vu... qu'il est "satisfait" par les condition qu'on s'est donné au départ...
Est il maximal ? Ben évidement oui, vu qu'il n'est satisfait QUE par les condition données au départ (vu que dans la liste des formules "satisfaite", il y en a une qui dit précisément que toutes les variables libres doivent être égales au conditions données) et que, par définition, les formules pas dans

c'est celle qui ne sont pas vérifiées avec les conditions de départ.
3) Tu prend un ensemble satisfaisable, des valeurs qui satifaont l'ensemble et tu complète avec toutes les autres formules qui sont vrai en ces valeurs là et ça te montre que l'ensemble de départ est contenu dans un ensemble du type du 2).
Si tu suppose en plus que ton ensemble est maximal, y'a plus le choix, y'a égalité.
Donc tout ensemble satisfaisable MAXIMAL est de cette forme.